mardi 12 août 2014

Détour et déraison



Il fallait bien que je finisse par y monter. Au moins une fois dans ma vie. J’ai passé presque toute mon existence à Paris sans jamais me donner le mal de poser mes pieds sur les marches de cette géante d’acier, le plus grand édifice au monde durant près de 40 ans. Si seulement je n’avais pas autant le vertige ! La première plateforme m’a suffis.